Le 14e poisson rouge |
Titre origine | The fourteenth goldfish |
Auteurs | Holm, Jennifer L. (Auteur) Hermet, Marie (Traducteur) |
Edition | les Incorruptibles : Paris , DL 2017 |
Collation | 1 vol. (214 p.) |
Illustration | ill. |
Format | 20 cm |
indice Dewey | 809 |
ISBN | 978-2-7511-0626-2 |
Prix | 11,34 EUR |
Langue d'édition | français |
Langue d'origine | anglais |
Sujets | humour |
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Contient :
Depuis la maternelle, Ellie possède un poisson rouge. La fillette a aujourd’hui douze ans, et sa mère lui apprend, par hasard, qu’elle a toujours remplacé les poissons morts : il s’agit maintenant de Bubulle 13… Dans le même temps, son amie d’enfance Brianna se détache d’elle pour suivre sa nouvelle passion, le volley. Déjà ébranlée à propos du temps qui passe, Ellie doit ensuite composer avec l’apparition de son grand-père sous les traits d’un adolescent. Le scientifique a en effet découvert une méduse qui permet de rajeunir. Malheureusement, il s’est fait refouler de son laboratoire et n’a pu emporter avec lui ce qui restait de méduse. En même temps que le vieux monsieur se fait passer pour un cousin éloigné d’Ellie et qu’il retourne au collège, il va entraîner sa petite-fille dans des cambriolages ratés au laboratoire. Et il va peut-être aussi lui donner une vocation de scientifique, mais pas à n’importe quel prix… Raconté par Ellie, le roman se place d’abord sous le signe de l’humour : le grand-père est un véritable phénomène, avec l’esprit d’un vieux bonhomme coincé dans un corps d’adolescent boudeur. Parce qu’il a longtemps été chauve, il se laisse pousser les cheveux et porte les chouchous de sa petite-fille. Parce qu’il s’entend assez mal avec sa fille enseignante de théâtre (un merveilleux personnage contre-point), il lui donne des conseils de parent attentif devant son compagnon ébahi… Ellie, modèle d’enfant sage, relate ces microscopiques aventures avec un sérieux imperturbable. C’est qu’elle a d’autres préoccupations en tête : son grand-père lui donne peu à peu le goût des sciences et des découvertes. Comme lui, elle ne se décourage pas d’échouer, elle croit à tous les possibles et elle se rêve prix Nobel… Jusqu’à ce qu’elle comprenne, tardivement, que science sans conscience n’est que ruine de l’âme , n’est-ce pas ? Elle est alors en mesure de faire la leçon à son arrogant grand-père, auteur de deux thèses de doctorat, veuf inconsolé d’une collectionneuse de pantoufles. Capable de nous faire réfléchir sans même que nous nous en rendions compte, ce roman génial se dévore d’une traite !
Depuis la maternelle, Ellie possède un poisson rouge. La fillette a aujourd’hui douze ans, et sa mère lui apprend, par hasard, qu’elle a toujours remplacé les poissons morts : il s’agit maintenant de Bubulle 13… Dans le même temps, son amie d’enfance Brianna se détache d’elle pour suivre sa nouvelle passion, le volley. Déjà ébranlée à propos du temps qui passe, Ellie doit ensuite composer avec l’apparition de son grand-père sous les traits d’un adolescent. Le scientifique a en effet découvert une méduse qui permet de rajeunir. Malheureusement, il s’est fait refouler de son laboratoire et n’a pu emporter avec lui ce qui restait de méduse. En même temps que le vieux monsieur se fait passer pour un cousin éloigné d’Ellie et qu’il retourne au collège, il va entraîner sa petite-fille dans des cambriolages ratés au laboratoire. Et il va peut-être aussi lui donner une vocation de scientifique, mais pas à n’importe quel prix… Raconté par Ellie, le roman se place d’abord sous le signe de l’humour : le grand-père est un véritable phénomène, avec l’esprit d’un vieux bonhomme coincé dans un corps d’adolescent boudeur. Parce qu’il a longtemps été chauve, il se laisse pousser les cheveux et porte les chouchous de sa petite-fille. Parce qu’il s’entend assez mal avec sa fille enseignante de théâtre (un merveilleux personnage contre-point), il lui donne des conseils de parent attentif devant son compagnon ébahi… Ellie, modèle d’enfant sage, relate ces microscopiques aventures avec un sérieux imperturbable. C’est qu’elle a d’autres préoccupations en tête : son grand-père lui donne peu à peu le goût des sciences et des découvertes. Comme lui, elle ne se décourage pas d’échouer, elle croit à tous les possibles et elle se rêve prix Nobel… Jusqu’à ce qu’elle comprenne, tardivement, que science sans conscience n’est que ruine de l’âme , n’est-ce pas ? Elle est alors en mesure de faire la leçon à son arrogant grand-père, auteur de deux thèses de doctorat, veuf inconsolé d’une collectionneuse de pantoufles. Capable de nous faire réfléchir sans même que nous nous en rendions compte, ce roman génial se dévore d’une traite !
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